Lorsqu’en 2006, je défrichais le terrain de la téléphonie mobile pour quelques projets innovants (dont Goojet), certains ergonomes et designers préconisaient de se servir du mouvement pour manipuler les téléphones dans des contextes d’utilisation particuliers (déplacement, obscurité, discrétion…).
Aujourd’hui, les premiers résultats sont là et le projet de l’université de Glasgow le montre parfaitement.
Le projet Shoogle de l’université de Glasgow.
Le projet Shoogle met ainsi en oeuvre les capteurs de mouvement de certains téléphones pour simuler des interactions du monde matériel, comme secouer un objet pour savoir ce qu’il contient. La modélisation des sons reproduits repose sur une approche purement physique (principe de masses ancrées, ressort, friction, collision, granularité de surface), d’où la grande fidélité de restitution.
Source : InternetActu